« La femme aux Os » 2010

                       « La Femme aux Os » créée en janvier 2010 au Théâtre le Fou (Lyon)

Avec : Karine Dufaut, Guillaume Bezie et Renaud Rocher                                               Musique : Jef                                                                                                                   Mise en scène  : Florence Meier

 

Spectacle créé à partir d’un  conte du désert mexicain : « La loba » et de deux contes du grand Nord : « La femme squelette » et « Peau de phoque »

Ils sont trois.Trois personnages. Ils viennent de loin. Ils se tiennent entre deux mondes : celui du rationnel, du réel et celui du rêve, du mythe, du monde des profondeurs…Ils sont venus nous raconter leur histoire. Nous sommes à mi chemin entre le conte et le témoignage, à mi-chemin entre le réel et la magie.                                                            Ces trois personnages appartiennent à trois contes populaires, transmis de générations en générations, de territoires en territoires…

« Un jour de ciel gris, j’ai fait  la rencontre d’un livre « Femmes qui courent avec les loups »  de C .P. Estès. Il y était question de « Femme sauvage » mais aussi  d’histoires qui guérissent. J’ai retrouvé à travers ces histoires populaires ancestrales une source d’enseignement et de vitalité. Elles détiennent une profonde sagesse. Depuis j’ai gardé   ce livre près de moi et  n’ai cessé de l’offrir à ceux et celles qui croisaient ma route. Ce spectacle reprend quelques histoires de ce livre… »                                                        Florence.Meier                                                                                                                                « On dit qu’il existe dans le désert un lieu où l’âme des femmes et l’âme des loups se rencontrent, par delà le temps.  Aux frontières du Texas, on a retrouvé une histoire intitulée « la Loba ».  Elle parlait d’une femme qui était une louve qui était une femme.     La loba, la femme aux os, enregistre le passé de tous et le passé du monde, parce que génération après génération elle a survécu et qu’elle n’a plus d’âge. Cette ancienne, « la vieille qui sait », nous la portons en nous. Elle habite cet espace du temps  où l’esprit et l’instinct se mêlent, l’endroit où en esprit les femmes courent avec les loups. »  C.P.Estè